Mauvais genre
Pour respecter le genre doit-on avilir la grammaire ? Doit-on ridiculiser l’orthographe ? Insulter nos auteurs et notre patrimoine littéraire ? Réveiller Victor Hugo pour se faire botter le cul ? Autrement dit féminiser Lire
Journaliste, Essayiste, Animateur, Conférencier
Pour respecter le genre doit-on avilir la grammaire ? Doit-on ridiculiser l’orthographe ? Insulter nos auteurs et notre patrimoine littéraire ? Réveiller Victor Hugo pour se faire botter le cul ? Autrement dit féminiser Lire
On ne nous dit pas tout, on nous cache des choses, on nous ment, on nous enfume, on nous confine et on nous masque la vérité si je mens. Pourquoi Lire
Nous avions Monsieur Propre, Monsieur Retraite, Monsieur Carnaval, Monsieur Tout le Monde, il nous manquait Monsieur « Dé-confinement ». L’erreur est réparée. Monsieur Castex devient monsieur 100 km comme – Lire
Le mot embrigadé reste peu utilisé depuis le début du XXI siècle. Et quand on le choisit, c’est toujours de façon péjorative car il suppose la contrainte, l’enrôlement. Il nous Lire
Les conspirationnistes sont partout (prononcez ce mot à voix basse et vous entendrez sionistes). Qui sait ? Batman, mutation de l’homme et de la chauve- souris à l’origine du Covid 19 ? Lire
Avec les mains, à 20 heures, l’heure des tapas virtuelles, on applaudit volontiers la France solidaire de ses soignants. Avec les mains, quelle que soit l’heure, d’autres frappent leur conjoint, Lire
« Et si le 11 mai n’était pas là ? ». Enigme policière ? Science – fiction ? Prospective scientifique ? Fake news? Propos « complotistes ? » Rien de tout cela, seulement le principal titre du JT Lire
Comment le séducteur de l’après 11 mai, va-t-il opérer ? Son illustre prédécesseur, celui du 13 mai 68 disposait de quoi battre le pavé pour draguer sur la plage. Mais aujourd’hui Lire
Les Français auront fait deux choses essentielles grâce au confinement : se laver les mains (sans relire les Mains sales) et redécouvrir ce chef d’œuvre qu’est la Peste de Camus. Lire
Silence, on tourne… la page. Le 1er mai 2020, place de la République. Seulement des pigeons et une vraie distanciation sociale de plusieurs centaines de mètres entre quelques rares badauds. Lire